Sahara Force India s’associe à la lutte contre le cancer du sein

Depuis le début de la saison, les monoplaces de Sahara Force India sont désormais couvertes de rose, afin de mettre en valeur son sponsor BWT. Cette couleur étant traditionnellement associée à la lutte contre le cancer du sein, le lien entre les deux était naturel. C’est désormais chose faite.

Après le triste gris et noir des dernières années, Sahara Force India a radicalement changé son identité visuelle depuis Melbourne et l’annonce d’un contrat pluri-annuel avec la marque autrichienne BWT. Les monoplaces de l’équipe sont désormais surnommées affectueusement comme les Panthères Roses. Si ce changement d’identité a eu d’évidentes retombées en termes de couverture médiatique, cela lui permet également de s’associer à d’autres causes, moins mercantilistes.

Ainsi il a été annoncé à Monaco que l’équipe allait désormais soutenir la lutte contre le cancer du sein, dont le rose est précisément la couleur de ralliement. Cette nouvelle association a été officialisée dans la pitlane de Monaco à l’occasion d’une cérémonie, associant les pilotes de l’équipe, Sergio Perez et Esteban Ocon, à la présentatrice britannique Lee McKenzie, marraine de l’association. Le fameux ruban rose sera donc visible sur les monoplaces pendant tout le week-end monégasque ainsi qu’à Montréal, Silverstone, Austin et Mexico.

Ce ruban sera situé à l’emplacement utilisé à Barcelone pour montrer les numéros des pilotes, ce qui avait valu à l’équipe de recevoir une amende potentielle de 25000 euros au motif qu’il n’était pas assez visible sous tous les angles de télévision…

Toutefois, cet accord est néanmoins une très belle vitrine pour l’association, qui cherche à significativement augmenter sa notoriété et son soutien aux malades, comme l’explique Andy Harris, le directeur de la levée de fonds et du marketing de Breast Cancer Care : « Force India s’engage à travailler avec Breast Cancer Care pour nous aider à atteindre notre objectif de doubler le nombre d’hommes et de gemmes que nous soutenons d’ici à 2020. »

De notre envoyé spécial à Monaco